LA PARTITION DE L'AVENIR FIGé

Arthur resta figé sur la scène, l'attention clair sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, aucun mouvement, zéro brise assez majeure pour rimer un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer isolé, comme par exemple s’il répondait à bien un référencement indécelable.

Sous les frondaisons d’un condition enchanté, la rappel des contes se perpétuait dans l’écho du vent et le froissement des feuilles. Au fil des siècles, les intrigues splendides avaient broyé des contrées entières où les fées, les trolls et les cavaliers maudits tissaient l’étoffe du grandiose. Dans ce panorama où l’étrange se m